Contes oniriques

Contes oniriques

Plus jeune j’étais un lecteur assidu d’Isac Asimov, Philip K. Dick, Dan Simmons, Franck Herbert, pour la sciences fiction et aussi de Tolkien, Moorcok, Lieber coté fantasy.
Ce sont ces lectures qui ont alimentées mes univers fantastiques, surréalistes. J’ai envie de les concrétiser en les peignants d’une façon réaliste et parfois hyper réaliste pour rendre ces univers immersifs pour mes spectateurs.
Mes peintures sont des visions oniriques de monde en devenir marquées par la grandeur et parfois la déviance de l’esprit humain. L’humain en est banni parce que non digne d’y être représenté.

C’est une longue histoire entre l’Homme et moi, une histoire tendue avec de nombreuses déceptions et désillusions sur la nature humaine.
Cependant je fait partie de cette humanité, je suppose que cet instinct grégaire m’a progressivement amené à réintro-duire l’humain, même s’il n’est perceptible qu’à travers des références indirectes, objets, silhouettes. Au fils de mes peintures l’homme commence à apparaitre directement représenté.

Pour quelqu’un qui peint, je suis aveugle ! Je n’ai que très rarement des visions internes de ce que je cherche à exprimer.
C’est pour cette raison que j’utilise beaucoup de documentation photographique. Les outils de photomontage, de retouche d’images et de 3D me permettent d’ébaucher une scène plus ou moins fouillée. Je l’enrichie, y travaille les lumières, les ambiances et pour les scenes en 3D, véritable décors virtuel, je promène ma caméra à la recherche du plan illustrant le plus parfaitement mon idée orignale. Je peux rester ainsi aux aguets plusieurs semaines voire plusieurs années à compléter ou restructurer ma scène jusqu’à tomber sur ce plan qui fera enfin apparaître mon tableau.

Ce type de peinture est donc très cérébrale. Une lecture, un documentaire, une discussion, un film me touche, m’interpelle, me fait réagir. Un raisonnement prend forme et je cherche comment l’exprimer en image. Toute une recherche documentaire s’en suit.
D’autre part mon attirance pour les peintres classiques m’a conduit à re-chercher des ouvrages techniques décrivant les recettes et méthodes de travail.
Mon travail technique est donc fortement emprunter à ce classisisme. Je commence quasi systématiquement par enduire mes
toiles pour gommer le grain de la toile et obtenir une surface lisse comme un marbre, de façon à ce que la ligne de pin-ceau ne soit pas dévier par une trame ou une chaine du tissu.
Ensuite, selon les sujets, je peins en grisaille ou en camaîeu. Puis je monte les couches de couleurs et je fini par des glacis pour les effets les plus subtils.
Parfois j’ai remplacé les grisailles et camaîeux par des couches acryliques.
Au delà de la conception et de la réalisation technique je dois l’aboutisse-ment de mes peinture à ma ténacité et ma persévérance.
Mon processus de création est très long, tant au niveau de la conception, qu’au niveau de la peinture et des contraintes de mon environnnement lorsque je peins. Certains tableaux ont nécessité plus de 500 heures..

 

 

 

J’ai envie de les concrétiser en les peignants d’une façon réaliste et parfois hyper réaliste pour rendre ces univers immersifs pour mes spectateurs.
Mes peintures sont des visions oniriques de monde en devenir marquées par la grandeur et parfois la déviance de l’esprit humain. L’humain en est banni parce que non digne d’y être représenté.

C’est une longue histoire entre l’Homme et moi, une histoire tendue avec de nombreuses déceptions et désillusions sur la nature humaine.
Cependant je fait partie de cette humanité, je suppose que cet instinct grégaire m’a progressivement amené à réintro-duire l’humain, même s’il n’est perceptible qu’à travers des références indirectes, objets, silhouettes. Au fils de mes peintures l’homme commence à apparaitre directement représenté.

Pour quelqu’un qui peint, je suis aveugle ! Je n’ai que très rarement des visions internes de ce que je cherche à exprimer.
C’est pour cette raison que j’utilise beaucoup de documentation photographique. Les outils de photomontage, de retouche d’images et de 3D me permettent d’ébaucher une scène plus ou moins fouillée. Je l’enrichie, y travaille les lumières, les ambiances et pour les scenes en 3D, véritable décors virtuel, je promène ma caméra à la recherche du plan illustrant le plus parfaitement mon idée orignale. Je peux rester ainsi aux aguets plusieurs semaines voire plusieurs années à compléter ou restructurer ma scène jusqu’à tomber sur ce plan qui fera enfin apparaître mon tableau.

Ce type de peinture est donc très cérébrale. Une lecture, un documentaire, une discussion, un film me touche, m’interpelle, me fait réagir. Un raisonnement prend forme et je cherche comment l’exprimer en image. Toute une recherche documentaire s’en suit.
D’autre part mon attirance pour les peintres classiques m’a conduit à re-chercher des ouvrages techniques décrivant les recettes et méthodes de travail.
Mon travail technique est donc fortement emprunter à ce classisisme. Je commence quasi systématiquement par enduire mes
toiles pour gommer le grain de la toile et obtenir une surface lisse comme un marbre, de façon à ce que la ligne de pin-ceau ne soit pas dévier par une trame ou une chaine du tissu.
Ensuite, selon les sujets, je peins en grisaille ou en camaîeu. Puis je monte les couches de couleurs et je fini par des glacis pour les effets les plus subtils.
Parfois j’ai remplacé les grisailles et camaîeux par des couches acryliques.
Au delà de la conception et de la réalisation technique je dois l’aboutisse-ment de mes peinture à ma ténacité et ma persévérance.
Mon processus de création est très long, tant au niveau de la conception, qu’au niveau de la peinture et des contraintes de mon environnnement lorsque je peins. Certains tableaux ont nécessité plus de 500 heures..